Conseils aux auteurs

Source de la page Conseils aux auteurs – Société des sciences arts et belles lettres du Tarn

Reprendre le travail de Claudine

Pour rendre plus aisé le travail de mise en page du bulletin annuel et améliorer la qualité de celui-ci, il est demandé aux auteurs de respecter les règles ci-dessous pour la fourniture de leurs articles.

Présentation générale

Le document doit être fourni sous forme d’un fichier Word ou similaire (Open Office, LibreOffice), sur la base d’un format standard A4 avec des marges de 2,5 cm.
Le corps de texte est en caractère romain de 11 pt, justifié, sans retrait en début de paragraphe.

Calibrage

Le texte fourni selon ce modèle doit comporter au plus 15 pages de format A4 (hors illustrations) ou 45 000 caractères (espaces compris). Il ne pourra dépasser ce plafond qu’après avis favorable du comité de lecture.
Les tableaux seront autant que possible inclus dans le texte et saisis en traitement de texte.

Titres

Les différents niveaux de titres devront être clairs et ne pas dépasser le nombre de trois.
Les titres ne sont précédés d’aucune numérotation et ne sont pas soulignés. Ils seront en bas de casse et sans ponctuation à la fin sauf, éventuellement, les points d’interrogation et d’exclamation et les parenthèses et guillemets fermants.

Citations

Les citations courtes seront dans le corps du texte, en romains et entre guillemets français. Seules les citations et les mots en langue autre que le français seront en italiques.
Les citations longues (plus de 3 lignes) formeront un paragraphe entre guillemets, avec un saut de ligne avant et après.

Notes

Les notes de bas de page seront gérées par le logiciel de traitement de texte. L’appel de note est collé au mot, avant toute ponctuation, notamment le guillemet fermant. Dans la note, une espace séparera le n° de la note et le début du texte. Celui-ci commence par une majuscule et se terminer par un point.

Illustrations

Leur nombre ne devra pas dépasser une dizaine, sauf autorisation accordée par l’éditeur.
Les illustrations (photographies, graphiques, cartes, etc., sauf les tableaux), quelles soient en couleurs ou en NB, ne seront pas insérées dans le texte et seront fournies séparément du texte, autant que possible en .jpeg, leur nommage comportant le nom de l’auteur et la numérotation des légendes.
Leur définition devra être suffisante pour une publication dans un volume de 16×24 cm (300 dpi minimum).
L’origine des clichés sera indiquée en cas de besoin et les auteurs se porteront garants du droit à les publier.
La position souhaitée des illustrations est donnée en intercalant dans le texte, (centré sur une ligne spéciale) le n° de l’illustration et sa légende (commençant par une majuscule et se terminant par un point).

1. Pont aux Dames, cliché de l’auteur

Règles typographiques

Les règles typographiques à suivre seront celles des Règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale.
Dans le corps du texte, les caractères gras doivent rester tout à fait exceptionnels et les caractères soulignés sont proscrits.

Ponctuation

Le deux-points, le point-virgule, le point d’interrogation et le point d’exclamation : une espace (protégée, dans Word) avant, une espace après.
Parenthèse ouvrante : une espace avant, pas d’espace après ; parenthèse fermante : pas d’espace avant, une espace après.
Guillemet français ouvrant (« ) : une espace avant, une espace protégée après ; guillemet fermant ( ») : une espace protégée avant, une espace après.

Capitales et bas de casse

Les capitales seront accentuées.

Les noms d’organismes multiples, qui sont caractérisés par un nom propre de lieu ou un terme de spécialisation (qui eux prennent une capitale), ne prennent pas de capitale initiale : le conseil départemental du xxx, le tribunal de grande instance de xxxx, la cour d’appel, la préfecture, l’évêché, la bibliothèque municipale, la mairie, le ministère de l’Agriculture, etc.
Les organismes uniques dans l’État prennent une capitale (mais pas l’adjectif qui les suit) : l’Assemblée nationale, le Grand Quartier général, le Conseil d’État, la Cour de cassation, etc.

Les noms de fonction prennent une minuscule : le pape, l’empereur, le roi, le président de la République, l’archevêque, le préfet, le maire, le président, le directeur, l’intendant, etc. Mais : « le Premier ministre ».

Les noms de mois (janvier, thermidor…) s’écrivent sans lettre initiale majuscule.

Chiffres et nombres

Les nombres ordinaux seront écrits avec un e suscrit (XXe siècle, 15e RI, 8e étage, etc.) (et non avec « ème »).

Les siècles seront écrits en chiffres romains et si possible en petites capitales, avec un e en exposant : XVe.

Les nombres décimaux sont écrits avec une virgule et non un point.

Les nombres exprimant des quantités (et non les dates ou les codes postaux) s’écrivent par tranches de trois chiffres séparés par un espace insécable : 12 345 habitants.

État/état

L’État (pour désigner un pays, une nation, son gouvernement, son administration), l’état civil, l’état-major (mais l’État-Major général, au sommet de la hiérarchie militaire d’un État), le tiers état, les états de Languedoc, les États généraux.

Noms de lieux

Les noms de communes, de département, ainsi que les noms de rue, veulent des tirets : Saint-Paul-Cap-de-Joux, le département de Tarn-et-Garonne, la rue Séré-de-Rivières… L’article défini initial fait partie du nom de la commune et prend une majuscule mais pas de tiret : « Le Travet ». En revanche on dit et ont écrit : « j’habite au Travet » (pas « à Le Travet »).
Les autres toponymes ne veulent pas de tirets, et l’article qui les précède ne prend pas de capitale : la Borie Blanque.

Saint(s) et sainte(s)

Quand on parle du saint ou de la sainte, saint ne prend pas de majuscule ni de tiret : « la statue de saint Jean », « sainte Madeleine fut enterrée… »
Quand il est employé comme adjectif, saint ne prend pas de majuscule : l’Écriture sainte, les Lieux saints, la Semaine sainte, la Terre sainte, le Vendredi saint, la sainte Bible, la sainte Église, la sainte messe, le saint sacrement, la sainte table…
Quand il entre dans les noms propres de personnes, de lieux, de monuments, de rues, de fêtes et d’ordre, Saint- s’écrit en toutes lettres, avec une majuscule et avec un tiret : le mémorialiste Saint-Simon, Saint-Amans-Soult, Sainte-Sophie, la rue Saint-Martin, les feux de la Saint-Jean, l’ordre du Saint-Esprit…
Quand il s’agit du nom d’une église ou d’une fête, on peut abréger en St- : « l’église St-Michel », la St-Jean…
En revanche, on écrit « Sainte Vierge » (sans tiret), « Saint-Siège », « Saint-Esprit », « Sainte-Trinité », « Saint-Empire », mais « le saint-père ».

Sigles

Les sigles seront écrits en capitales, sans points : SNCF, CTHS, VOA, etc.
Mais quand les organismes en question sont écrits tout au long, il ne faut placer que les capitales strictement nécessaires : Société nationale des chemins de fer français, Comité des travaux historiques et scientifiques, Verrerie ouvrière d’Albi…

Titres de civilité

Monsieur s’abrège M. (et non Mr) ; messieurs MM. ; madame Mme et mademoiselle Mlle.
Pas de majuscule à monsieur, madame, mademoiselle, sauf en début de phrase et quand il s’agit d’un quasi nom propre : « Monsieur, frère du roi ; Madame Mère, Madame Royale…

Unités de mesure

Ne prennent pas de point abréviatif : « 10 m » ; « 4 ha » ; « 12 s », etc.

Sources d’archives et manuscrits

On écrira Arch. nat., F 7 6541 ; Arch. dép. Tarn, 1 N 45 ; Arch. mun. Toulouse, 1 D 34 ; Bibl. nat. de France, Ln 27 456 ; Bibl. mun. Nîmes, 8° 456 ; etc.

Bibliographie

Sauf nécessité à justifier auprès des éditeurs, la bibliographie sera intégrée dans les notes, sous la forme suivante.

Pour un ouvrage :
Vidal (Auguste), L’ancien diocèse d’Albi d’après les registres de notaires, Paris-Albi, Picard-ICSO, 1913, xi-427 p. (Textes de mémoires relatifs à l’histoire des anciens diocèses du Tarn).

Pour une contribution à un ouvrage collectif :
Laborie (Carine), « Jean-Joachim Gausserand, premier évêque du département du Tarn », dans Nélidoff (Philippe), dir., Les cités épiscopales du Midi, Albi, Presses du centre universitaire Champollion, 2006, p. 355-364.

Pour un article dans une revue :
Bergès (Élise), « L’Ambialadès, vestiges archéologiques », Revue du Tarn, n° 127, automne 1987, p. 471-498.